Patsy S. O\'Hara | Oh, oh...

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(C) Lively Mind

» Papiers

• Nom »

O'Hara. Ca fait immédiatement penser à "Autant en Emporte le Vent", c'est vrai. D'ailleurs, elle s'est bien souvent fait appeler Scarlet, bien qu'elle n'ait strictement rien à voir avec l'héroine du fameux livre.

• Prénom(s) »

Patsy, Siofra. Deux noms très peu courants, je vous l'accorde. Elle a eut du mal à s'adapter à son prénom, mais elle s'y est peu à peu fait. De plus, ça marque bien son originalité.

• Surnom(s) »

Comme la plupart des gens, elle a eut droit à de nombreux surnoms. Les plus courants sont: Patsou, -qu'elle déteste-, Sisi -qu'elle hait tout autant que le premier- et Swiffer -car là où Patsy passe, tout trépasse.-

• Age »

22 ans.

• Lieu & Date de Naissance »

Galway, Irlande. Le 24 décembre 1886.

• Occupation »

C'est une simple petite serveuse dans un café en ville. N'empêche, son boulot lui plait.

» Psychologie
9 lignes minimum par catégorie.

• Quelque chose dont personne n'est au courant »

« Mademoiselle Pasty Siofra O'Hara, veuillez nous suivre au poste sans faire d'histoires »

« Et merde. »

Si elle devait choisir un moment particulier de sa vie où elle serait le plus ridicule, ça serait maintenant. Elle s'avança vers la voiture des policiers, les girophares toujours allumés. Pathétique. Les policiers de Galway avaient l'impression d'être les rois du monde lorsqu'ils arrêtaient un gosse qui faisaient du vélo en dehors de la piste cyclable. Une fois arrivée au comissariat, elle eut une confrontation avec son voisin. Ce dernier avait porté plainte contre la jeune femme, car elle avait tagué sur la mur de sa maison: "LIBEREZ POLLUX, ENFERMEZ LE VIEUX CON". Pourquoi ? Parce que le quincagénaire maltraitait le pauvre Pollux, son propre chien. En ayant marre d'entendre le chien pousser des gémissements à longueur de journée et prise d'un élan de folie, Patsy avait acheté une bombe pour taguer et s'était mise au travail. Sa seule bêtise était d'avoir sous-estimé ce cher Pollux. Le chien complêtement enragé avait bondit sur Patsy, qui avait poussé des hurlements à réveiller tout le quartier. Elle eut juste le temps de partir en courant et d'entendre son nom hurlé par son voisin qu'elle était déjà dans sa chambre, tremblant de tout son corps.
Et voilà qu'elle se retrouvait au commissariat, à 21 heures du soir. Quant à ses parents, ils voulaient lui donner une bonne leçon et la laisser dormir en cellule.
Après avoir jetté un coup d'oeil à l'espèce de travesti qui se trouvait être son collocataire pour la nuit, elle maudit Pollux, son maitre, ses parents, les policiers, les travestis, et elle même.

• Comment les gens vous définissent-ils »

« Tu sais que tu es chiante ? » est une phrase que l'on rêpète souvent à Patsy. En effet, la jeune femme passa son temps à poser des questions, quitte à harceler son interlocuteur. Elle est aussi capable de pousser quelqu'un à bout, rien que pour se faire plaisir. C'est pour cela qu'on la qualifie aussi de « Sadique » Non, elle n'aime pas voir les gens souffrir. Mais voir qu'elle n'est pas seule à avoir une vie merdique la rassure un peu en fait. C'est pour ça que dans les mauvais moments, elle regarde son patron obèse et se dit que finalement elle a de la chance. « Optimiste. » Patsy voit toujours le verre à moitié plein, qu'a moitié vide. Elle déborde d'optimisme, et essaye de remonter le moral à tout le monde. Elle peut souvent passer pour une cruche blonde d'ailleurs, mais elle assume totalement. « Bizare. » Patsy a un sens de l'hummour particulier. Pour elle, les blagues vaseuses sont les meilleures. Bien souvent d'ailleurs, elle est la seule à rire d'elle même. Elle a aussi des réactions plutôt bizares. Si il se met à pleuvoir à torrents, elle est capable de sauter dans les flaques tout en chantant la fameuse chanson du Magicien d'Oz, "Somewhere Over de Rainbow".

« Rancunière. » Si jamais vous avez le malheur de trahir votre parole ou de toucher un point sensible chez Patsy, soyez sûr qu'elle vous rayera de sa mémoire et ce, sans état d'âme. Elle n'est pas le genre de fille à agresser quelqu'un qu'elle n'aime pas, elle se contente de faire comme si cette personne n'existait pas. « Trop sensible. » La jeune femme a trop tendance à être "touchée" par les choses. Regarder Roméo et Juliette à la TV peut la faire fondre en larmes. Petite annecdote, elle a déjà adopé un vieux chien qui allait se faire piquer à la SPA, car elle a eu pitié pour lui au dernier moment.

• Une personnalité qui vous a marqué »

John Lennon. L'auteur, compositeur, pianiste, guitariste et chanteur à profondément marqué l'esprit de Patsy. Certes, elle est née 6 ans après son assassinat, mais elle a toujours été fan de ses chansons, et de ce qu'il était en tant qu'homme. D'ailleurs, lorsqu'on lui expliqua que son idole était mort depuis belle lurette, ce fut atroce pour la petite fille qu'elle était. Elle s'était même mis en tête de devenir une espione et de retrouver Mark David Chapman, et de lui faire endurer le supplice du bambou -vous savez, la fine tige de bambou qu'on glisse sous l'ongle-. Lorsqu'elle était ado, elle faisait partie des rares personnes qui écoutaient sans cesse des vyniles de Beatles. Elle aurait vraiment voulu vivre dans les années 70, pas seulement pour rencontrer John Lennon, mais parce que à cette époque là, le monde tournait un peu plus rond d'après la jeune femme.

• Ce que vous ne supportez pas chez les autres »

Si il y a bien une chose chez quelqu'un que Patsy ne peut pas supporter, c'est la ventardise. Quelqu'un qui passe son temps à se jetter des fleurs, ça a vite tendance à l'énerver. Quant aux hommes machos, ça lui ammène une crise d'urticaire. Elle a déjà mis à la porte un ancien petit ami car il avait osé prétendre que le rôle de Patsy était de faire la vaisselle, comme toutes les femmes normales. Ce qu'il ne savait pas, c'était que premièrement: Patsy détestait faire la vaisselle, deuxièmement: sa grand mère était une féministe et que troisièmement, ce n'était pas une femme normale. Bref, il a fini par passer la moitié de la nuit sur le trottoir, attendant gentiement que Patsy veuille bien lui rendre les clés de son appartement.
Les gens cyniques agacent aussi fortement la jeune femme. Quelqu'un qui passe sa vie à faire des réflexions et à grogner, ça la met en rogne. Elle va même jusqu'a dire que ces gens sont contagieux, et qu'on peut devenir méchant rien qu'en restant avec eux. Elle évite donc de rester en contact avec des gens "méchants". Cependant, cette règle ne s'applique pas à tout le monde...

• Et Les lettres, dans tout ça ? »

15 lignes minimum

Franchement, elle ne s'est pas vraiment posé la question du pourquoi et du comment au sujet des lettres. Elle a juste ressenti une pointe de peine pour l'auteur de cette lettre.Lorsqu'elle a lu la lettre, elle se trouvait sur la terrasse d'un petit café dans une rue légèrement isolée. Sa première pensée fut pour le jeune Samuel qui perdit sa mère en 1952.
Le changement de comportement des gens à pas mal surpris Patsy, mais les gens ont l'air heureux alors... Mais bon. Patsy a tellement été habituée à voir des gens malheureux, blasés et cyniques, qu'elle commence serieusement à se poser des questions sur ce qui se trame en ville, même si elle n'est pas du genre à se casser la tête pour un oui pour un non. En plus quelque chose lui manque vraiment: la pluie. Patsy adorait sentir l'odeur de l'herbe mouillée en se levant le matin. Trésaillir légèrement dans la nuit en entendant le tonerre ne la dérangeait pas plus que ça. Quant au fait d'ouvrir son immense parapluie bleu fluo, ça lui manque un peu en fait. Elle espère juste que rien de terrible ne se cache sous cet événement, et que les choses rentreront dans l'ordre dès que possible.

» Vous

• Avatar »

Kirsten Dunst

• Prénom ou Pseudo »

Ju, Juju, Juliette. Au choix.

• Age »

Mentalement ou physiquement ?

• Comment avez-vous connu le forum ? »

De forums en forums, comme par magie.

• Qu'en pensez-vous, globalement? »

*Bave*

• Une dernier commentaire? »

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Qui c'est ? $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 898434$

Bienvenue

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Kirsten (L)
Bienvenue ! x)

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HEY =)
Bienvenue parmi nous (L) $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 574483$

Invité

$Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 574483$

on va bien se marrer.

Invité

Avery: Je suis l'inconnue de service

Serieux, j'ai arrêté de m'inscrire sur des RPG's depuis l'époque de Banana Pancakes
J'sais pas si vous connaissez, c'est plutôt loin
Bref, on va dire que je repars à zéro quoi.

Merci $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 574483$

Banana $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 574483$ J'adorais !
Trop bon choix d'avatar, elle est géniale Kristen $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 672380$ Je la réserve !
Je suppose que tu as pris le scénario demandé, donc je peux le considérer comme pris?
Bonne continuation pour ta fiche et bienvenueee

Invité

Banana c'était culte ! $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 926195$
Exact, elle est prise.
Merci I love you

Patsy S. O'Hara a écrit:: Avery: Je suis l'inconnue de service
Serieux, j'ai arrêté de m'inscrire sur des RPG's depuis l'époque de Banana Pancakes
J'sais pas si vous connaissez, c'est plutôt loin
Bref, on va dire que je repars à zéro quoi.

Merci $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 574483$

A j'y étais pas, mais je connais bien sûr Laughing

Bref, bonne continuation et re-bienvenue dans le monde RPGien

Invité

» Biographie
15 lignes minimum par catégorie.

• Une anecdote marquante de votre vie »

« Papa réponds moi enfin ! »

Pour le première fois depuis longtemps, Patsy se montrait violente. Elle avait attrapé son père par les épaules et le secouait de toutes ses forces, pour qu'il lui parle enfin.

le regard perdu ailleurs, son père se dirigea d'un pas lourd dans le salon, avant de se laisser tomber sur le fauteuil. Il mit sa tête entre ses mains, comme s'il voulait effacer des images affreuses de sa tête.

Quant à Patsy, elle était restée dans le couloir. Elle se sentait...vide. C'était comme si on lui avait enlevé un part d'elle même. Elle avait 16 ans, et elle venait de perdre sa mère.

FLASHBACK

« Maman ? »

« Je suis là, entre ! »

Patsy poussa timidement la porte de la chambre d'hôpital et entra finalement. Elle adressa un mince sourire à sa mère, avant de s'assoir sur le rebord de son lit.

« Comment tu vas aujourd'hui ? »

demanda-t-elle, sachant pertinemment que sa mère lui répondrait qu'elle allait bien, alors que ce n'était pas le cas.

« Super bien ! »

« Super. »

« Quelque chose na va pas ma chérie ? »

lui demanda Anna, inquiète pour sa fille. Il fallait l'avouer, avec sa maladie elle avait du mal à s'occuper d'elle. Elle se tenait maintenant devant une jeune femme, mais elle savait que Patsy était fragile.

« C'est plutôt toi qui devrait me le dire. »

balança-t-elle sur un ton plus froid qu'elle ne l'aurait voulu.

« Je ne comprends pas. »

« POURQUOI TU VEUX ARRETER TON TRAITEMENT ? »

hurla la jeune fille, se levant brusquement du lit. Ses joues viraient maintenant au rose, et ses yeux brillaient de larmes.

En arrivant à l'hôpital, les médecins l'avaient prévenue: sa mère ne souhaitait pas poursuivre son traitement. La seule issue possible était donc la mort. Patsy avait encaissé, disant que c'était le choix de sa mère... Mais devant cette dernière, elle ne pouvait plus se retenir.

« Ca fait bientôt 2 ans que je suis malade Patsy. Je n'en peux plus. »

maintenant, c'était sa mère qui avait les larmes aux yeux. Elle attappa la main de sa fille, qui se dégagea automatiquement.

« ET MOI ? »

les larmes coulaient sur son visage maintenant, et elle avait de plus en plus de mal à parler correctement, secouée par des sanglots.

« Tu as pensé à moi ? J'ai 16 ans bordel ! C'est trop tôt. Je... »

elle fit une pause

« J'ai besoin de toi maman. »

« Je suis désolée chérie. Les médecins disent que... »

« ALLEZ TOUS VOUS FAIRE FOUTRE ! Papa, les médecins, TOI ! »

Sans un mot de plus, elle quitta en trompe la chambre et claqua la porte de toutes ses forces. Elle partit en courant de l'hôpital, la respiration haletante. Elle regretta son geste quelques heures plus tard, mais elle avait le temps de parler à sa mère le lendemain.
Du moins, c'était ce qu'elle croyait.

FIN DU FLASHBACK.

Se tenant toujours immobile dans le couloir, Patsy inspira profondément pour garder un minimum de dignité devant son père. Elle savait ce qu'il allait se passer. Elle allait vivre avec la mort de sa mère et un père anéanti. Elle n'avait pas envie de parler, elle avait juste besoin de quelqu'un. Elle composa alors un numéro qui lui était familier depuis longtemps, et attendit qu'on décroche.

« Zenith, c'est moi. Tu m'as toujours dit que quand j'aurais besoin de toi, tu serais là. Et bien là tout de suite maintenant, j'ai besoin de toi. Et pour un bon bout de temps »

• Situation familiale »

Patsy considère qu'elle n'a pas de famille. Sa mère est décédée lorsque Patsy avait 16 ans, et elle ne s'en est jamais vraiment remis. Même si en apparence Patsy est une jeune fille pleine d'amour à revendre, elle n'en est pas pour autant heureuse. Quant à son père, depuis la mort de sa femme il n'a jamais pû regerder sa fille dans les yeux, cette dernière lui rappelant trop la femme de sa vie. Patsy à donc vécu deux ans de calvaire, en compagnie d'un père qui n'avait rien à faire d'autre que boire et se lamenter. Ce dernier n'adressait la parole à Patsy seulement lorsqu'il avait besoin d'elle pour nettoyer et ranger la taudis dans lequel ils vivaient tous deux. Ses grands parents quant à eux, elle ne les a jamais connu. Il lui reste sa grand mère maternelle, qui est maintenant très malade et est prise en charge par un hospice pour personnes agées. Elle n'a jamais eu de frère, ni de soeur, ni de cousin, ni de cousine. Voilà pourquoi il fut plus simple pour elle de tout quitter , après que son père lui eut demander de partir de la maison. D'après lui elle était grande, elle pouvait donc vivre sans lui. Et il avait tout à fait raison. Même si son métier n'est pas le plus beau du monde, que sa vie sentimentale se résume à son poisson rouge et à des léchouilles venant de ses 4 chiens, elle est heureuse. Et ce, pour la première fois depuis bien longtemps.

» Carnet d'Adresses

Fitzroy B. Sterling

$Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 2l8gaok$

(C) Hazy Crazy

Fitzroy et Patsy, c'est du grand n'importe quoi. Toujours à se hurler dessus, à se balancer des choses à la figure, et à partir en laissant l'autre en plan. La première fois qu'ils se rencontrèrent, ils eurent leur première dispute. Le sujet: la maladresse de Patsy. La jeune femme avait malencontreusement -et c'est vrai- renversé un verre d'eau glacée sur lui. Surprise qu'il l'envoie aller se faire voir comme il l'avait fait, elle l'a facilement pris en grippe et s'est donner pour mission de rendre sa vie impossible et par la même occasion, le faire sourire au moins une fois. Car en effet, le jeune homme est malheureux. Et ça, Patsy à vite fait de le remarquer. Elle laissa alors de côté la règle numéro un de l'éternelle optimiste: ne pas rester avec des gens méchants.
Le problème, c'est qu'elle s'attache et que lui devient de plus en plus agressif. Et elle ne devrait pas s'attacher à lui, elle le sait.

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Présentation terminée.

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Bon Jeu ! $Patsy S. O\'Hara | Oh, oh... 672380$