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| FBS | Breaking down. | |
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Invité Invité
| Sujet: FBS | Breaking down. Dim 7 Sep - 22:33 | |
| banner by zenni LJ Fitzroy Blythe Sterling; âme torturé.
» Papiers
• Nom » Sterling • Prénom(s) » Fitzroy; qui voulait dire "fils du roi" & Blythe; plein de bonne intention. • Surnom(s) » Fitz • Age » 25 bonnes années • Lieu & Date de Naissance » Londres; 28 septembre 1985 • Occupation » En plein master de droit.
» Psychologie
• Quelque chose dont personne n'est au courant » NYC | AU COIN DE LA 5EME; 01/01/2004; 02H26. « Fitz' attends ! Reviens il fait froid ! » Les échos de sa voix lui parurent lointaines. Ils venaient de fêter le nouvel an en grande pompe, la soirée avait été arrosé comme d'habitude. Cette année; Fitzroy Sterling avait passé ses vacances avec sa petite amie actuelle; une certaine Lesley Delannoe. Ils s'étaient rencontrés un an avant, le même jour à une heure différente. Pendant un instant, il crut voir une très bonne amie; mais ce n'était qu'elle. Timide à cet époque, il ne s'approcha pas d'elle, elle le fit très bien. Et pendant que tout le monde fêtait le nouvel an, ils discutaient autour d'un verre de vin chaud à Central Park. Il était encore étudiant à Harvard à ce moment, et sa vie entière était à New York, malgré le fait qu'il soit né anglais. Un an qu'ils avaient passés ensemble, un an de bonheur sans incident. Et voilà qu'il voulait faire une promenade seul dans les rues de Manhattan; en pleine nuit glaciale. L'air guilleret sur le visage, il avançait en t shirt, comme s'il ne sentait pas le froid. Il travers la route, faisant des petits pas de danse, et faillit atterrir sur un trottoir gelé. Il se rattrapa et regarda le ciel expirant de sa bouche une fumée blanche qui contrastait avec la couleur noire profonde du ciel de New York. Des pas se rapprochèrent; et il sentit une emprise sur son bras. Sa petite amie, l'air inquiète se jeta dans ses bras. Il se mit à rire aux éclats, et fut suivie par elle. Les deux riaient, tournoyaient comme de petits danseurs sur le passage piéton. Ils étaient là, où il ne fallait pas, là où tout allait se jouer. En un clin d'œil, Lesley se fit fauché par une voiture. Fitzroy dans sa torpeur alcoolisé ne s'en rendit pas compte directement, avant de crier à l'aide, les sanglots remontant le long de sa gorge nue et glacé. Des cris de désespoir retentissaient dans la 5ème avenue; et rebondissaient sur les buildings. Il était 02h54; et la petite amie de Fitz' venait de mourir, par sa faute.
• Comment les gens vous définissent-ils » Arrogant; les mots défilent plus vite que la pensée. Il ne parle pas pour rien dire, son éducation atteste de son intelligence, mais sa tendance à ouvrir la bouche très souvent peut énerver. Ce n'est pas une qualité, c'est un défaut qui vient naturellement. Il ne peut pas se changer; c'est trop tard. Jaloux; possessif serait un bon adjectif aussi. Il n'aime pas que les gens aient plus que lui, cela a tendance à l'énerver. Alors, il vous casse avec des répliques cinglantes, bien placés, tellement que s'il y avait un concours de KC, il sera le roi. Pétant; on a tendance à dire qu'il se prend pour quelqu'un, qu'il s'aime plus que tout le monde. Et bien c'est vrai. Mais cette confiance en lui même a prit la modique somme de 500 séances de psychothérapie, et de 20 années de soutien moral parental. Un vrai merdier pour se faire insulter ensuite. Misogyne; les femmes sont des objets. Elles lui donnent du plaisir, de la distraction, mais il les remercie ensuite en ouvrant la porte de son appartement. Elles ont le droit à une nuit, une nuit d'essais. Énervant; une nature qu'il ne peut changer. Un énorme défaut que tout le monde met en valeur. Une grande gueule qui fait des ravages, mais qui sait se faire respecter aussi. Cultivé; c'est un as en lecture. Il mémorise incroyablement bien la bible, le code civil et les codes tout courts. Son Qi est au dessus de la normale, et il affiche ses convictions haut et fort. Pas besoin d'un dico, vous l'avez. Apeuré; qui dit peur dit complexe d'infériorité. Depuis que sa petite amie est morte, il ne supporte plus qu'une femme s'accroche à lui plus d'une nuit. Il est prit d'un comportement bizarre; et devient incroyablement méchant et fait tout pour que la demoiselle parte en courant. Ce qu'il ne sait pas; c'est que certaines résistent. Sportif; on ne peut nier qu'il a une carrure idyllique. Ses yeux bleus contrastent avec sa peau bronzée, et toutes les filles aimeraient apercevoir ce bout de paradis qu'est son torse. Seul; c'est sûrement le mot le plus employé pour le décrire. SEUL. Il se promène seul, regarde la télévision seul, et ne rit jamais. Voilà un homme bien torturé qu'il faudrait aider à réapprendre à aimer.
• Une personnalité qui vous a marqué » Jeff Buckley, un musicien de talent, torturé. Il a toujours fait une fixation sur cet homme. Depuis le titra Hallelujah sublimement interprété par cet artiste, il ne décolle plus de son album collector. La tête sur son oreiller, il découvre encore et encore les paroles du chanteur américain. Jeff Buckley, c'est tout une histoire. Un homme sans père; un homme musicien; un homme torturé et sensible. Il n'a jamais connu son père; tout comme Fitz. Un musicien connu, qui lui semble si connu et apprécié ces derniers temps. On parle de chef d'œuvre, c'en est un. Jeff Buckley avait une réelle âme, une personnalité musicale incroyable. Une sorte dé héros pour notre Fitz qui a du mal à exprimer ses sentiments dernièrement. Cette voix langoureuse, ce petit grain erraillé dans celle ci, lui donne des frissons chaque jour un peu plus. Jeff Buckley, est un mythe mais aussi un artiste auquel Fitz s'identifie dans une bouleversant pensée.
• Ce que vous ne supportez pas chez les autres » Le tic de fixer les gens; une vraie horreur dans son cas. Il devient rapidement agressif, irascible et serait prêt à vous frapper si vous ne baissiez pas votre regard. Et c'est une vraie manie d'être sur la défensive chez lui. L'égocentricité; vous vous prenez pour le roi du monde, attendez vous à vous faire critiquer par Fitz, mais face à face. Il n'a pas peur de vous, et peut vous dénouer de toute confiance en vous. La drague; ok il pourrait aimer ça. Mais depuis quelques temps, il ne joue plus à ce jeu débile. Une fille vient le voir, il la rembarre presque méchamment. Il a assez d'une sangsue, il en veut pas deux. Le fait que vous chantiez tout le temps; une chose horriblement chiante pour lui, c'est de vous entendre chantonner comme si la vie était belle. Et bien allez montrer votre bonheur ailleurs, la vie n'est pas si belle que ça d'son côté. Vos manières de bourges; il a beau être un gosse de riche, les petits doigts levés et tout le bazar c'est pas son truc du tout. Il serait plus du genre à prononcer ving gros mots dans une phrase, et ne pas se gêner pour vous faire voir le fond de sa pensée. Vos sourires faux; il connaît la vie, et ce n'est pas vos petits sourires enjoleurs qui le feront réagir. Vous avez beau être la plus belle personne au monde, pour vous vous n'êtes rien. Du tout. Cet espèce de pitié envers lui; sûrement la chose qu'il hait au plus haut point. Vous apprenez son histoire, vous vous apitoyez sur son sort en le plaignant. Il ne vous a jamais demandé votre avis, et votre pitié vous pouver vous la mettre là où il pense, c'est un grand garçon solitaire. Qu'on se préoccupe de lui; ca l'énerve beaucoup toutes ses petites questions indiscrètes. S'il ne vous répond pas d'aller au diable, ou de demander à son postérieur, vous aurez une énorme chance. Les conseils; il sait se débrouiller, depuis toujours il le fait. Vos conseils à deux balles, hop poubelle si ce n'est pas hop aux oubliettes. Pas besoin non plus, de " Oh mon pauvre " à moins que vous n'aillez la folle envie de vous encastrer dans un mur.
• Et Les lettres, dans tout ça ? » Un foutu bazar; des feuilles partout pour pas grand chose. Les gens, ont beau sembler plus heureux que tout, en parfaite harmonie en couple, sautant de joie à toutes les rues, il sait très bien ce que l'avenir leur réserve. Les problèmes arrivent vite; il le sait très bien. La mort aussi arrive vite; ne vous fiez pas à votre petit bonheur quotidien. Un accident est si vite arrivé, il le dit par expérience. Il peut vous paraître pessimiste à mort; complètement dépassé par l'événement ou simplement seul et triste, mais il ne connait trop bien la vie pour être heureux à ce point avec une personne. Il se posa tous les jours, la même & éternelle question. " Pourquoi elle, et pas moi ". Pourquoi pas lui; qui avait commencé à faire le con sur la chaussée en pleine nuit. Les lettres ne l'aident pas, elles l'enfoncent dans un anonymat profond et extrêmement silencieux. Tout le monde s'exprime, crie au monde entier qu'ils ont trouvés l'amour, l'extase, le partenaire idéal. Mais lui, il l'avait et l'instant d'aprés plus personne. Lui, il avait tout, et l'instant d'après plus rien du tout. L'oeuvre d'une personne malsaine, ces lettres vont détruire le monde si équilibré de Londres; en un rien de temps. La théorie du chaos, il en est presque l'inventeur.
» Carnet d'Adresses
Patsy' O'Hara. " Je ne peux pas la voir. Elle me colle, me fout des baffes. Une vraie sangsue violente. Mais putain qu'est ce qu'elle est belle. Je ne dois pas coucher avec elle; je ne dois pas coucher avec elle. Merde, dès que je la vois j'ai envie de l'embrasser. Pas question, que je m'engage. Pas question que je mette en danger la vie d'une fille aussi .... vivante. "
Killian C. Williams " Peut être le moins con mec sur terre. C'est un pote; même le meilleur. Il me supporte, je le supporte et on fait des crasses ensemble. On refait ce monde de tarés avec notre bouteille, et ensuite on va crier sur touts les toits que Maradona est un putain de pacha. Voilà; on est les rois; et personne ne nous contredira, surtout avec nos sarcasmes made in USA "
» Vous
• Avatar » Hugh Dancy • Prénom ou Pseudo » Raph' • Age » 16 ans • Comment avez-vous connu le forum ? » Pub sur Our town • Qu'en pensez-vous, globalement? » J'aime le contexte; des gens heureux partouuut • Une dernier commentaire? » Londres c'est magique.
Dernière édition par Fitzroy B. Sterling le Lun 8 Sep - 22:16, édité 10 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: FBS | Breaking down. Dim 7 Sep - 22:36 | |
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• Une anecdote marquante de votre vie » LONDRES; 21/06/2008; 15h25 Une journée de merde; tout simplement. Le genre de journée où vous préféreriez rester coucher à mater le plafond pendant des heures, plutôt que de parlementer avec deux imbéciles dont les neurones se connectent en vingt minutes à chaque question. Le genre de journée où vous aimeriez tellement disparaître, vous éclipser juste cette journée, et pourquoi pas vous noyer dans votre bain pour ne pas entendre l'espèce de cri informe de la voisine qui vient de trouver une araignée dans sa chambre. Ou à votre droite, le voisin qui engueule sa femme parce qu'il n'a pas eu sa bière matinale et son petit café dominical. Une journée où tout simplement vous aimeriez sauter de votre balcon, et essayer de voler avant de tomber par terre et vous écraser comme un pauvre moucheron sur le pare brise d'un camion de 5 tonnes. Et Fitz en voyait des journées comme celle ci; des milliers. Tous les jours, depuis le 1 janvier 2oo4, il avait l'impression de vivre un enfer. Des gens totalement cons, dans une ville totalement bête & dénuée de sens. Une vision bien pessimiste de tous les événements marquants. Comme tous les jours, en sortant de son lit, il grogna contre le parquet censée être chauffé qui osait être froid. Il grognait contre sa plante verte qui piquait du nez sur la fenêtre alors qu'il l'avait mis là pour qu'elle prenne ce putain de soleil. Il grognait et regrognait contre ces téléphones incapables de se taire alors qu'il essayait de se réveiller. Il grognait contre l'espèce de programme télé informe qui passait avec deux blondes siliconés et sans un moindre bout de cerveau. Il grognait contre la vie; un bol de céréales à la main; une cigarette dans l'autre. Autant fumer et mourir plus tôt. Il s'en foutait, personne ne l'attendait, personne ne s'occupait de lui . Et il le valait bien, car il faisait tout pour éloigner les filles comme les garçons. Arrogant, méchant, prétentieux et surtout insupportable, il mettait un point d'honneur à pourrir les cours des professeurs, et à trouver la petite bébête. Un don incroyable; dû à cet accident. Une mauvaise humeur annuelle qui ne partait jamais et toujours un mot méchant pour les gens. Fitzroy n'était plus le même depuis quelques années; avant il était extraverti, accueillant et chaleureux. Aujourd'hui, méchant, arrogant et solitaire. Un changement radical de comportement dû à la douleur intense ressenti. Une douleur qui ne s'éloignait jamais, qui rôdait dans le coin, et qui revenait lorsqu'il parlait à quelqu'un. Alors, il rembarrait la personne, et faisait tout pour que cette douleur devenue familère le laisse tranquille, que cette culpabilité sorte un instant de son cerveau torturé. Alors pendant un quart d'heure, il resta à zapper sur la télécommande avant de la jeter à travers la pièce, pour qu'elle s'écrase contre le mur. Il se leva; et alla prendre une douche sûrement salvatrice. Mais il n'en ressortait pas mieux, et se rasa rapidement pour ensuite s'habiller. Un petit tshirt bleu azur, avec un jean et une veste suffisaient amplement pour une journée nulle. Il le sentait au fond de lui; il allait avoir un problème aujourd'hui. Alors, il sortit cette espèce d'appréhension au fond du ventre. Il regardait autour de lui; se méfiait de tout, les mains dans les poches. Plusieurs personnes le regardaient, il n'y prêta même pas attention. Il se dirigea vers son université, et les cours de droits socials se passèrent sans accroches. Le reste de l'aprés midi, il traîna dans le centre de Londres, fumant cigarettes sur cigarettes. « Hey mon pote ! » Il se retourna et haussa un sourcil. Il n'avait pas d'amis, à part Killian et ce n'était pas demain la veille qu'il l'interpellerait en pleine ville en criant mon pote. Il darda du regard la personne qui s'approchait et soupira continuant son chemin. L'homme était complétement ivre, et voulait sûrement une cigarette. Il avanca le pas, et enfin se posa dans un bar. Commandant whisky sur whisky, il ne vit pas les heures passés et eut juste le temps de dire ouf, avant de sentir une main sur son épaule. Il sursauta, car perdu dans ses pensées, il fixait son verre. Tournant son regard vers la demoiselle qui le demandait, il fallut qu'il tombe sur elle. Patsy; une vraie sangsue, qui adorait l'emmerder. Il grogna à son encontre et parla rapidement.
« On ne peut jamais être tranquille ici » « Oh, ne fais pas ton cynique, je sais très bien que tu aimes ma compagnie » « Mais oui, bien sûr prends toi pour la reine Elisabeth en plus. Pauvre cruche » « Ce langage; Fitzroy je te l'ai déja dit, tu finiras muet » « Vas y tu veux pas me lâcher là ? J'essaye d'apprécier le silence, et toi tu me gonfles avec tes répliques à deux balles » « Monsieur le prince est pas content, j'vais le laisser tout seul » « Monsieur le Prince il t'emmerde. »
Sur ces mots très distingués, il se leva. Il posa un billet sur le comptoir, remit sa veste et la regarda vaguement. Sa tête tournait, et il espérait sincèrement pouvoir rentrer sans tomber. Il lanca un regard froid à cette fille, et se mit en quête de la sortie. Il essaya trois portes, l'alcool lui faisait bien l'effet. Enfin; il la trouva et marcha quelques instants dehors. Sans savoir comment, il arriva à son appartement et n'eut pas la force d'aller dans sa chambre. S'écroulant totalement ivre sur son canapé; il soupira et ensuite s'endormit comme une bûche. Et comme il le prédisait; journée de merde.
• Situation familiale » On peut la refaire ? Une famille ne fait pas partie de son dictionnaire. Sauf si on inclut le mot " père disparu " ou " inconnu au bataillon ". Même " couillon plein de fric " marche. Né de l'union d'une riche héritière britannique et d'un petit tombeur de femmes plein aux as, il était bien loti niveau argent. Il connaît son père, celui ci essaye même de le mettre de son côté. Mais sa mère est tout pour Fitzroy; celle qui l'a aidée dans son deuil, celle qui lui a redonné un semblant de vie. Son beau père fait office de père, et vu qu'il est plein aux as et incroyablement gentil et tendre avec son fils adoptif, Fitz' le supporte. Sa mère l'aide à avancer, et aime le câliner. Pourtant, elle a remarqué son changement de comportement total. Elle sait que son fils a souffert et qu'il souffre toujours, et elle est pleine de bonnes intentions. Elle l'appelle deux ou trois fois dans la semaine, le réconforte lorsqu'il craque. Il ne pleure devant personne, sauf sa mère. Elle le comprend et c'est bien la seule femme qui l'aime en ce moment. Son père, lui l'appelle quand il a envie c'st à dire, à l'anniversaire de son fils. Il l'invite souvent à New Yprk, mais il refuse toujours catégoriquement. Il s'est promis de ne jamais retourner dans cette ville, même si c'est une question de vie ou de mort. Il apprécie sa situation familiale, une mère tendre & un beau père aimant. L'autre père peut aller où il veut, ce n'est pas son fils qui l'en empêchera.
Dernière édition par Fitzroy B. Sterling le Mar 9 Sep - 19:12, édité 3 fois |
| | | Quinn Russell FREAKY •
Nombre de messages : 419 Âge du personnage : 24 ans. Emploi/Etudes : Sans emplois. Humeur : Funky Date d'inscription : 11/10/2007
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| Sujet: Re: FBS | Breaking down. Dim 7 Sep - 22:37 | |
| Bienvenueee Hugh Je réserve Merci de ton inscription Et bon courage pour ta Fiche | |
| | | Woody Russell BOHEMIAN • You can't hide standing under these stars.
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| Sujet: Re: FBS | Breaking down. Dim 7 Sep - 23:35 | |
| Hugh Avec un avatar de ma Dumbo Bienvenuuuuue. | |
| | | Invité Invité
| | | | Quinn Russell FREAKY •
Nombre de messages : 419 Âge du personnage : 24 ans. Emploi/Etudes : Sans emplois. Humeur : Funky Date d'inscription : 11/10/2007
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| Sujet: Re: FBS | Breaking down. Mar 9 Sep - 23:11 | |
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| | | Invité Invité
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| Sujet: Re: FBS | Breaking down. | |
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