__RADLEY; Matthias. •• It's the way that he makes you feel.

J'en discuterais avec l'intéressée ~~si jamais le scénario est pris~~.

OH

Je viens de me rendre compte que Matthias est propriétaire du Fridge et que Graham y est barman, trop la classe __RADLEY; Matthias. •• It's the way that he makes you feel. - Page 2 468225

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Ils ne fouttent RIEN au travail.
Surtout avec Katie en plus.

C'est faux.
Graham ne fait pas rien.
Il drague les clientes __RADLEY; Matthias. •• It's the way that he makes you feel. - Page 2 898434

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Et se prépare ses propres drinks.

Ne mens pas, j'ai bien vu que l'alcool partait étrangement vite tes soirs de service.

Je suis démasqué ptdr

I SEE EVERYTHING.

Matthias Radley a écrit:: Je n’ai pas envie que cette lettre vienne changer quoi que ce soit dans ce que nous entretenons ensemble, mais je ne peux m’empêcher de me dire que je suis égoïste de tenir Woody si proche de moi alors que je la fais souffrir. Je me sens mal de lui faire de la peine, et pourtant, je ne peux m’empêcher d’être l’imbécile que je suis devenu au cours des années. Elle m’aide beaucoup, elle m’aide à être une personne meilleure, mais j’ai parfois des incartades et c’est ces fois-là que je la blesse. Par moment, je me dis que je ne suis bon qu’à lui faire du mal, qu’à la blesser. Je me dis qu’elle mérite mieux. Beaucoup mieux.

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Woody Russell a écrit:

Matthias Radley a écrit:: Je n’ai pas envie que cette lettre vienne changer quoi que ce soit dans ce que nous entretenons ensemble, mais je ne peux m’empêcher de me dire que je suis égoïste de tenir Woody si proche de moi alors que je la fais souffrir. Je me sens mal de lui faire de la peine, et pourtant, je ne peux m’empêcher d’être l’imbécile que je suis devenu au cours des années. Elle m’aide beaucoup, elle m’aide à être une personne meilleure, mais j’ai parfois des incartades et c’est ces fois-là que je la blesse. Par moment, je me dis que je ne suis bon qu’à lui faire du mal, qu’à la blesser. Je me dis qu’elle mérite mieux. Beaucoup mieux.

Il est plus sensible qu'il n'y parait.

Je bois toujours un peu trop, mais au moins, ce n’est plus dans des ruelles macabres; je traîne avec mes meilleurs potes, et on s’amuse. Je suis une personne toujours aussi compliquée, je suis toujours un peu renfermé sur moi-même, fauteur de trouble, sarcastique, attiré par la débauche de toute sorte, excessif, impulsif et violent, néanmoins, je ne me résume plus à ça. La présence de Woody, entre autres, m’aide à sortir des côtés plus roses de ma personnalité. Je deviens plus calme, plus réfléchit. Je suis moins porté à me détruire, je prends confiance en moi, aux changements qui s’opèrent en moi. Peu à peu, je prends les chances qui s’offrent à moi. Comme ce travail au Fridge, il m’a totalement changé. Je suis devenu plus responsable, je gère littéralement une boîte notoire avec zéro connaissance en la matière. Mais j’adore l’équipe qui travaille avec moi, l’ambiance est géniale, et les clients sont vite inclus dans cette petite famille. Ce travail m’aide à grandir aussi, je prends finalement les bonnes décisions, je commence à devenir un vrai adulte. Je m’intéresse à plus de choses qu’une paire de jolies fesses et des soirées où tout promet de mener vers un foutoir pas possible. Je me surprends à lire plus souvent, à écouter des films plus travaillés, plus intéressants. Malheureusement, ces changements ne sont pas permanents. Certains jours, je redeviens cet imbécile que j’étais auparavant, je me chicane avec ma fiancée, je vais lâchement draguer deux trois fillettes dans un bar miteux du coin et je reviens le lendemain matin sans être tout a fait assuré des évènements de la veille. Mais j’ai envie de changer, je n’ai plus envie de tout faire merder, et d’être à chaque fois si détruit que je suis obligé de faire peur à mon entourage, de le blesser pour le convaincre de me laisser seul dans ce merdier. J’ai envie de changer, de rester celui que je suis dans mes beaux jours. Mais je vous dis ça aujourd’hui, et demain pourrait être une journée terrible et alors, je me condamnerais à rester le même.

•

Je vais sembler m'éloigner du sujet, mais j'aimerais savoir une chose à votre propos, pour mieux vous cerner... Y a-t-il un événement qui vous a particulièrement marqué, dans votre existence?

Des évènements qui m’ont particulièrement marqués, j’ai eu beaucoup dans mon existence. Je pourrais vous parlez de cette journée où j’ai appris qu’à la mort prochaine de mon grand-père, j’hériterais d’une boîte de nuit, et donc, d’une certaine richesse, chose que je n’avais jamais espéré auparavant. Je pourrais aussi facilement citer la journée où j’ai rencontré Woody pour la première fois, comment je l’avais aperçue de loin avec sa jolie petite robe, qui soulignait le galbe parfait de ses jambes, et ses cheveux blonds, cascadant dans son dos. En fait, tous les évènements avec cette jeune femme pourraient faire l’objet d’un véritable récit de ma part : notre premier rendez-vous, suivi de notre premier baiser, lorsque nous avons emménagé ensemble. Néanmoins, le plus beau jour dans l’histoire de notre couple demeure celui où je l’ai demandé en mariage. Contrairement à mes habitudes, j’avais décidé de mettre une certaine réflexion et une préparation derrière cette grande journée. Selon les règles de l’art, j’avais été demandé la main de leur précieuse fille à monsieur et madame Russell, j’avais eu la bénédiction de Quinn et Gabriela m’avait assisté lors de pérégrinations incessantes dans toutes les bijouteries de la ville pour finalement trouver dans la dernière, la bague parfaite pour celle qui allait devenir ma femme. Une petite merveille, de l’or blanc surmonté d’un diamant solitaire : sobre et élégant, rien qui ne se remarque trop, néanmoins, une belle intention. Elle travaillait un chiffre incroyable cette journée là, elle était partie le matin bien avant moi et ne devait revenir que tard dans la soirée. En ma qualité de patron du Fridge, je m’étais accordé une journée de congé, que j’avais occupé à faire quelques courses. J’ai acheté en quantité industrielle ses fleurs préférées, en disposant dans toutes les pièces de notre appartement, puis je suis passé dans un bon restaurant prendre un bon repas, avant d’aller lui faire la surprise au travail en venant la chercher à la fin de son quart. On avait marché bas-dessus-bras-dessous à travers la ville, la température étant particulièrement confortable pour cette journée de fin mars, tout en rigolant comme de jeunes enfants, tout en s’arrêtant ça et là pour s’embrasser sous la lumière des réverbères qui s’allumaient un à un alors que la nuit tombait doucement sur nos têtes. Nous sommes finalement arrivés à l’appartement, désert – Gabriela, qui vit avec nous, avait accepté d’aller dormir chez une copine et j’ai laissé Woody pénétrer dans les lieux la première. Elle était restée figée devant les fleurs, alors qu’un sourire venait s’étirer sur ses lèvres. Mon petit plan avait marché, elle voyait en ces fleurs un cadeau comme un autre. J’avais en effet particulièrement bien planifié mes choses pour que la journée que je la demande en mariage coïncide avec notre anniversaire de quatre ans comme couple. Je la regarderais butiner de bouquet en bouquet, souriant comme un enfant, alors que le petit boîtier de la bague semblait peser huit cent livres dans ma poche. J’étais anxieux, excité, stressé, j’avais envie de lui donner le bijou immédiatement, mais je pris contrôle sur moi et je suis allé la débarrasser de son manteau, que j’ai déposé sur le lit, tout en l’invitant à s’asseoir à table, lui tirant doucement une chaise. Je lui apportais son plat, et nous mangions en discutant de toutes les choses qui nous passaient par la tête. Au dessert, elle me tendit un long paquet qu’elle avait dissimulé sous un meuble, et après avoir ouvert cinq boîtes, chaque fois un peu plus petite, je suis tombé sur une magnifique montre. Je l’ai remercié, l’ai embrassé, et est déclaré que j’avais un dernier petit cadeau pour elle. Je fis mine de me lever pour aller le chercher dans la chambre, alors qu’elle me disait que j’exagérais, que je la gâtais trop, mais à mis chemin, juste comme j’arrivais devant elle, je sortis le petit boîtier de ma poche, et m’agenouilla devant elle, comme dans les films. Je n’eu même pas le temps de poser ma question au complet qu’elle me sautait dans les bras, pleurant de joie, alors qu’un sourire venait s’agripper à mes lèvres, et que j’enfonçais ma tête dans le creux formé par son épaule et sa nuque pour m’y loger. Je vous épargne le reste des détails mon cher monsieur Carlson, mais croyez-moi, toutes les secondes de cette journée sont marquées de façon permanente dans ma tête.

•

Heum... Intéressant, je prends note. Et une personnalité, quelqu'un de votre entourage, une célébrité? Une personne qui, à vos yeux, force l'admiration?

Ma réponse ne vous étonnera pas monsieur Carlson, nous avons bien appris à me connaître lors de cet entretien. Cette personne, ou plutôt ces personnes, sont inévitablement les deux femmes de ma vie, Gabriela et Woody. Ce sont deux personnes extraordinaires qui ont toujours su voir mes bons côtés, et qui m’ont toujours poussé à les exploiter. Elles ont été là dans mes bons comme mes mauvais jours, et si je ne devais prendre qu’une seule chose pour acquis, c’est l’amour éternel que j’ai pour elles. Je ne peux m’imaginer un quotidien dont elles ne seraient pas les protagonistes principales, je ne m’imagine pas sans elles. Elles sont les rayons de soleil de ma vie, mes points d’ancrage. Je sais que si jamais j’ai eu problème, que j’ai besoin d’une aide quelconque, que je n’ai qu’à me tourner vers elles, qu’elles seront là pour moi. Mais n’allez pas croire que j’admire ces deux demoiselles uniquement car elles sont là pour moi. Jamais vous ne rencontrerez quelqu’un de plus gentil et empathique que Gabriela. Véritable boule d’énergie, cette enfant est un délicieux mélange d’intelligence, de bonté et de vivacité. Elle est curieuse, s’intéresse au monde autour d’elle et apporte un véritable baume sur le cœur des plus meurtris. Woody, quand a elle, elle sans aucun doute la jeune femme la plus décapante que je n’ai jamais croisé. Piquante et spontanée, elle n’a pas la langue dans sa poche, et c’est exactement le genre de personne dont j’ai besoin dans ma vie. Elle sait me réveiller lorsque j’en ai besoin, et sait me pousser à me faire confiance, à nous faire confiance. De plus, elle est intéressante comme pas deux. Elle est très axée sur ses valeurs, et ne marchera jamais sur sa dignité pour plaire à d’autre; j’admire sa force de courage. En résumé, elles sont toutes les deux géniales et méritent qu’on leur dise de temps en temps.

JE VOIS QUELQU'UN.

Pseudonyme :

Lexie.

Avatar :

Jamie Dornan.

Première impression :

Ce fut un véritable coup de foudre !

Commentaires :